Qu'entend t’ont par là ?
On a toujours des objectifs, des projets à mettre en place mais pas facile à concrétiser, en plus du travail, des enfants et autres activités hedomadaires.
On a tendance a prioriser les activités secondaires qui ne demande pas forcément de discipline, au profit d'autres primordiales.
La peur de l’échec, la peur de mal faire, la peur du jugement des autres ou de son propre jugement, la peur de l’inconnu et la peur du succès nous font remettre tout cela à plus tard.
D'autres raisons nous font procrastiner, notre estime de soi, notre manque de concentration, notre manque de motivation ainsi que le manque de recul .
A préciser qu'il ne faut surtout pas confondre la procrastination avec l'indolence ce serait une erreur.
Pour me citer, parlons de ce livre que je souhaiterais écrire.
Trop de questions, de reculs ont retardés l'avancement de ce projet.
Je me disais, « tu te prends pour qui pour écrire un livre ? »
« Qui s'intéresse à ta vie, à ton histoire ? »
Donc j'ai laissé de côté ce projet en me basant sur des pensées négatives, durant des années.
Mais au bout d'un certains temps vous y repensez, en parlez à une ou deux personnes de confiance tout simplement, sur le ton de la plaisanterie.
Petit à petit ce projet non assouvi mais pensé et voulu devient une charge mentale avec du stress.
Puis, avec le temps je me suis dit que je le faisais en premier lieu pour moi, pour me libérer.
Beaucoup d'ajournement, de temporisation.
Un atermoiement qui n'a pas duré longtemps.
Et à partir de ce moment, j'ai commencé à mettre les choses en place mentalement et j'ai du changer ma façon de penser.
Il fallait que je m’attelle à cette tâche fastidieuse, colossale de mon point de vue.
Plusieurs points importants était à mettre en application :
Le vouloir vraiment était un premier élément de changement,
Une grande motivation,
Une bonne organisation,
Mettre de côté les distractions,
L'écoute de ses ressentis est aussi importante, si notre corps nous dit pause, on s’arrête et surtout si ce fameux syndrome de la page blanche nous atteint.
Et on respire !!
Ensuite, j'ai du mettre des actions en place pour vraiment m'y mettre et arrêter de PROSCRATINER.
Pour cela, des recherches sur internet ou auprès de magazines, de médias pour avoir une bonne méthode.
Puis j'en ai fais qu'a ma tête.
Je voulais absolument ancrer mes écrits, les voir avancer alors j'ai utilisé des cahiers et les pages d'écritures ont commencés.
J'ai noirci quelques pages puis un et deux cahiers....
Au début c'était un petit combat quotidien, pour une disciple quotidienne.
Mais en s’astreignant, j'en faisait un peu tous les jours.
Un planning a été mis en place pour chaque jour de la semaine, un créneau horaire que je respectais plus ou moins.
Ce n'est pas facile de raconter sa petite vie mais cela fait un bien fou, quand certains anciens amis ou connaissances ont essayé durant une bonne partie de votre existence de vous isoler pour ne pas réussir ou que vous restiez dans l'ombre.
De nature trop gentille, je laissais faire, dire mais n'en pensait pas moins.
Je procrastinais mon caractère. (rire). J'attendais le bon moment pour faire jaillir "les mots".
Évitez lez conflits parfois c'est mieux surtout quand on sait que la méchanceté gratuite revient à celui qui la provoquée. C'est une question de patience.
Rétablir sa vie par des vérités, par le vrai récit n'est que justice, même si certains trouveront cela déplacé.
Chacun son avis. Mais là c'est de mon histoire qu'il s'agit.
C’était sûrement la destinée, une mission de vie.
En tout cas, ce projet avance, lentement mais sûrement.
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